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22/07/2010

Pour apporter la contradiction à la propagande gouvernementale

Si nous sommes apolitiques, il nous faut entendre d'autres discours que les discours officiels.

Voir ce lien : http://www.m-pep.org/spip.php?article1727

Pour les questions économiques, voir ce site : http://www.alternatives-economiques.fr/

Les comptes de la CNAV retoqués par la Cour des Comptes

Alors que le "débat" sur les retraites (commissions à huis clos : mauvais début démocratique) est lancé, les comptes de la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse de 2009 (et en particulier les retraites) n'ont pas été certifiés par la Cour des Comptes comme en 2008. En particulier un nombre important de calculs de retraites sont erronés.

Quelles ont été les sanctions pour les dirigeants de cette Caisse ? Comment traiter des retraites si pour deux années de suite la Cour des Comptes refuse de certifier les comptes ?

communiqué 2008

2009

12/07/2010

Le divorce entre les seniors et les DRH

Laurent Wauquiez fait une fixation sur le tutorat. Nous comprenons pourquoi lorsqu'on voit les résultats d'une étude de la CEGOS. Quand 51% des seniors veulent être reconnus pour leur expertise et leurs compétences et 41% à vouloir continuer à évoluer professionnellement, 79% des DRH veulent qu'ils transmettent leurs compétences et 66% qu'ils conseillent et soutiennent les plus jeunes. Les DRH reconnaissent les compétences des seniors pour qu'ils les transmettent aux plus jeunes, avant des virer.

Où on voit que Laurent Wauquiez s'adresse aux DRH et répond à leurs besoins sans prendre en compte les aspirations des "seniors" et sans se rendre compte qu'une fois les compétences transmises, les seniors seront mis dehors !

Cette enquête est très intéressante car elle montre que les objectifs des seniors ne sont pas les mêmes que ceux des DRH. Elle est plus réaliste que celle de l'ANDRH, association des directeurs des RH, qui ne s'appuie pas sur un échantillon représentatif.

L'ANDRH est en conflit d'intérêts sur ce genre de sujet, en étant juge et partie. Ceci explique pourquoi les résultats montrés dans l'étude de l'ANDRH ne se retrouvent pas dans la réalité alors qu'on retrouve ceux de l'étude la CEGOS, qui, elle, n'est pas en conflit d'intérêt dans son enquête. Etrange, non ?

Quelques résultats de l'enquête CEGOS avec nos commentaires :

http://www.quinquascitoyens.net/documents/cegos_etude_201...

Vous pouvez télécharger l'enquête à partir de ce lien.

23/06/2010

Je témoigne lundi 28 juin sur Sud Radio pour dire ma vérité

Je téléphone au 0 826 300 300 pour témoigner de mon expérience dans ma recherche d'emploi. Je prépare mon témoignage et j'écoute Sud Radio sur Internet http://www.sudradio.fr/index.php?id=12 .
Le LUNDI 28 JUIN 2010 sur SUD RADIO de 14H30 à 16H dans l'émission "FAUT QU'ON EN PARLE" présentée par Laurence PERAUD.

 

11/06/2010

Un quiz sur l'emploi des seniors et les retraites

Sur ce lien, un quiz sur différentes questions concernant l'emploi et la retraite des seniors :

http://lesassos.com/sn/quizzes/1006/retraite-et-emploi/

05/06/2010

La niche fiscale Copé

Le président PS de la commission des Finances de l'Assemblée, Jérôme Cahuzac, a proposé mercredi de supprimer la niche fiscale "Copé", l'une des plus coûteuses, relative à la défiscalisation des plus values réalisées lors de la vente de parts d'entreprises.
Invité de Questions d'info LCP/France Info/AFP, M. Cahuzac était interrogé sur les niches fiscales et la manière de les réduire comme le réclament une partie de la majorité et l'opposition.
Il a ironisé sur "la méthode utilisée par Jean-François Copé (chef de file des députés UMP, ndlr) qui, en fiscalisant les indemnités journalières des accidentés du travail, a estimé qu'il avait supprimé ainsi une niche fiscale".
"Le bénéfice fiscal ( de cette décision) pour l'Etat, est de 120 à 130 millions d'euros", a-t-il précisé, soulignant que les niches fiscales coûtaient au total "75 milliards d'euros en année pleine".
En cette période de crise, M. Cahuzac a estimé qu'il fallait examiner "les niches les plus coûteuses", comme la "niche Copé" instaurée par ce dernier quand il était ministre du Budget. Cette niche, a-t-il affirmé, "a coûté à l'Etat 18,6 milliards d'euros en 2008 et 2009" et sa "suppression permettrait de soulager un peu des finances publiques".
La "niche Copé" permet à "une personne physique ou morale, holding par exemple, qui vend des parts d'entreprise détenues depuis plus de deux ans", d'empocher "la plus value réalisée à l'occasion de cette vente" totalement défiscalisée.
Le président de la commission a affirmé que cette niche avait "profité à Lagardère, Bolloré, les grandes banques". "Il ne s'agit pas de PME ou de TPE, il ne s'agit pas de start up, il ne s'agit pas de chefs d'entreprise que la collectivité pourrait légitimement aider" mais "d'entreprises, de holdings très bien installées, parfaitement profitables -et tant mieux pour ces entreprises- qui n'ont peut-être pas besoin de surcroît de ce cadeau-là".

Senior et femme

Visible jusqu'au 8 juin, une émission à voir : http://documentaires.france5.fr/documentaires/affaires-de...

03/06/2010

Pétition des entrepreneurs, les vrais, contre les abus des banques

http://www.petition-contre-les-abus-bancaires.org/petitio...

Le rapport du médiateur de Pôle Emploi

Benoit Genuini, ex DG d'Accenture France et médiateur de Pôle Emploi, a remis son rapport en mars 2010 et a démissionné depuis :

"J'espère que ma démission servira au moins à faire comprendre que le service public de l'emploi ne doit pas uniquement faire du traitement de masse, mais doit prendre en compte les cas particuliers."

20/05/2010

Pour l'emploi des seniors : ce qui marche

Le 8 juin se tiendront les 3èmes assises parlementaires pour l'emploi des seniors.

Toutes informations sur ce lien : http://www.quinquascitoyens.net/documents/invitseniors_ex...

Pour être inscrit-e gratuitement (il nous reste quelques invitations gratuites) nous donner par email les informations demandées sur ce document :http://www.quinquascitoyens.net/documents/inscription%20a.... Possible jusqu'au 2 juin 2010 et en nombre limité.

19/05/2010

Oui pour la taxe de 0,05% sur les flux financiers

Oui, nous sommes d'accord pour la taxe de 0,05% sur tous les flux financiers et les montants en jeu dans les effets de levier qui augmenteront mathématiquement la taxe.

Ce taux ne remet en cause aucun investissement réel car bien plus faible que les aléas liés à toute prévision et s'il ne diminue pas la spéculation a l'avantage de rapporter des fonds aux états. : http://europeansforfinancialreform.org/fr/news/sylvie-gui...

Riches = Entrepreneurs ?!

Sophie de Menthon tient un discours qui prétend que les riches sont des entrepreneurs alors qu'ils sont le plus souvent des rentiers et nous connaissons beaucoup d'entrepreneurs qui ne sont pas riches (revenus < 10 000 euros par mois ?) et qui ont mis la clé sous la porte à cause de délais de paiement abusifs ou de marges insuffisantes sous la pression des grands groupes internationaux ou la grande distribution.

Nous vous recommandons de lire "Histoire secrète du patronat de 1945 à nos jours."

Voici un extrait de la 4ème de couverture : "Cette somme brosse le vrai portrait de nombreux patrons français, révèle les bonnes affaires des uns dans la "Françafric", les juteuses opérations des autres dans l'immobilier ou l'industrie. On découvre comment se sont vraiment faites la plupart des grandes fortunes françaises, celles d'hier et d'aujourd'hui : subventions extorquées à l'Etat, entreprises publiques bradées, rachat de sociétés dans des conditions obscures, montages financiers aux marges de légalité, fraude fiscale, espionnage, coups fourrés, etc."

En bref, ceux qui sont devenus riches sont en général ceux qui n'ont pas été "pris" la main dans le sac.  Les Pas Vus Pas Pris ! Un exemple est le cas Tapie : les contribuables avec l'accord du gouvernement lui ont versé 100 millions d'euros ! Vous apprendrez aussi comment Stéphane Richard, nouveau DG de France Télécom, s'est enrichi grâce à JM Messier et à ses allers -retours entre le public et le privé. Les surprises sont de taille !

Et tout est fait aujourd'hui pour réduire les budgets des magistrats qui s'occupent des "affaires financières".

Et on nous montre en exemple les patrons du CAC40 d'aujourd'hui. Combien de patrons du CAC40 ont créé leur entreprise ? Combien sont d'anciens hauts fonctionnaires qui voulaient avoir une Rolex avant 50 ans ? Combien d'ex PDG du CAC40 débauchés par une entreprise étrangère qui justifieraient les rémunérations de millions d'euros ?

 

12/05/2010

Recherche témoignages pour "A vous de juger "

"Je prépare pour l'émission "A vous de juger" présentée par Arlette Chabot sur France 2 un reportage sur l'âge de la retraite.
Je m'intéresse notamment à la place des seniors dans le monde du travail, et au paradoxe qui voudrait que l'on repousse, sur le papier, l'âge du départ à la retraite à 63, 64, 65 ans; alors que dans les faits, les quinquas sont souvent poussés très tôt vers la retraite, voire licenciés.
Je cherche donc à rencontrer des seniors qui se sont retrouvés dans cette situation, contraints de partir en retraite ou pré-retraite précocement et contre leur gré, pour recueillir leur témoignage.
Je cherche plutôt des personnes vivant en région parisienne, et disponibles vendredi prochain, le 14 mai, ou lundi prochain, le 17 mai. Pourquoi pas un petit groupe de 2 ou 3 personnes qui ont vécu des expériences similaires et se connaissent, que l'on pourrait rencontrer ensemble."
Fin de l'opération recherche de témoignage.
Si vous souhaitez être contacté(e)ne prochaine fois, envoyez un courriel à info@quinquascitoyens.net

23/04/2010

Témoignage paru dans Le Monde

Je savais que cela pouvait arriver, mais de là à penser que je serais touché un jour ! Avec tous mes diplômes, non, je n'y croyais pas ! Et ce d'autant plus que je faisais partie d'une entreprise qui mettait l'éthique et les valeurs humaines au cœur de son projet collectif. Et pourtant si, c'est arrivé en 2008 : au moment où j'allais souffler mes cinquante bougies, mon entreprise m'a mis à la porte du jour au lendemain, sans aucun ménagement, comme si j'étais un vulgaire numéro qui ne comptait plus. "C'est la crise, m'a-t-on dit ! Et comme tu es le dernier rentré, tu es le premier sorti !" Et depuis cette période, je découvre avec effarement ce que chômeur de 50 ans veut dire dans notre beau pays !

D'abord, vous n'y croyez pas, vous cherchez à vous battre, vous niez la réalité : ce n'est pas possible, MON entreprise n'a pas pu me faire cela. Vous lui aviez tant donné de votre vie, et même parfois sacrifié un peu (beaucoup) de votre équilibre et de votre santé. Et ces belles valeurs communes, vous y aviez tant cru ! C'est même pour elles que vous aviez rejoint cette société il y a quelques années. Et ce sont elles que vous aviez transmises encore récemment à des collaborateurs plus jeunes et peut-être moins enclins que vous à tout donner à leur entreprise. Un peu comme si vous ne pouviez plus vous défaire de cette fameuse "logique de l'honneur" si française et si bien décrite par Philippe d'Iribarne !

Oui, mais voilà, un beau jour, tout s'arrête et vous êtes KO debout. Vous ne comprenez pas la décision de votre patron, bien sûr, mais surtout la violence avec laquelle ce départ est organisé et même annoncé aux autres, avant qu'il soit connu de vous. Un petit chèque et puis s'en va ! "S'il te plaît, pas de vagues", vous a dit le directeur des ressources humaines. "On est entre adultes, tout de même !" Et là, vous vous dites que ce n'est peut-être pas si grave, que vous en avez vu d'autres et que vous allez rebondir rapidement. Après tout, vous avez des diplômes et de bons réseaux. "Il n'y a pas de raison que tu n'arrives pas à t'en sortir avec l'énergie que tu as", vous a lâché le DRH à votre départ. Mais oui, au fond, il a sûrement raison ! Il faut tourner la page !

Alors, plein de dynamisme, et parce qu'on vous a appris toute votre vie à ne pas vous laisser abattre, vous partez à l'assaut des chasseurs de têtes et autres cabinets de recrutement. Vous contactez les réseaux de votre école, vous déjeunez avec les relations que vous aviez plus ou moins bien entretenues ces dernières années. Vous répondez même à des annonces que vous aviez repérées dans quelques journaux spécialisés. Un peu comme si vous vous retrouviez des années en arrière, en train de chercher votre premier job en pensant que tout cela sera très rapide malgré la crise. Vous ne manquez pas d'atouts, vous n'avez pas d'enfants à charge, vous êtes mobile, vous avez fait la preuve de vos compétences à travers vos différentes expériences, et vous êtes ouvert à tout, à l'entreprise comme à la fonction publique !

Pourtant, vous sentez que les réponses se font évasives, les occasions plus vagues, les déjeuners moins fréquents. Vous vous dites que c'est une affaire de temps, que vous allez rebondir sans problème, que vous croyez toujours en votre bonne étoile. Et tout à coup, c'est le cruel rappel à la réalité ! L'un de vos interlocuteurs vous assomme par ces mots : "Le problème, c'est votre âge ! Comment voulez-vous retrouver un travail maintenant que vous avez dépassé 'l'âge fatidique' ? Plus personne ne voudra de vous, désormais !"

Nouveau coup sur la tête ! Vous comprenez tout à coup que plus rien ne sera plus jamais comment avant. En même temps, vous vous dites que vous auriez dû vous battre davantage au moment du départ de votre entreprise pour obtenir une vraie réparation de ce préjudice. Mais comment le faire quand le ciel vous tombe sur la tête et que vous êtes convaincu de retrouver rapidement du travail ? D'un seul coup, vous comprenez mieux les sentiments de ces salariés, qui, nettement moins privilégiés que vous, se retrouvent eux aussi du jour au lendemain hors de leur entreprise et vous vous dites que quelque chose ne tourne vraiment pas rond dans notre société où, sans travail, vous n'existez plus réellement !

Et comme vous lisez les journaux et vous vous tenez au courant de l'actualité, vous entendez que les régimes de retraite vont être réformés, que l'âge du départ risque d'être repoussé à 61 ou 62 ans, peut-être plus encore. Lorsque vous étiez salarié avant 50 ans, tout cela vous paraissait si loin que vous ne vous sentiez pas concerné. Mais maintenant, c'est différent : de toutes parts on vous fait comprendre que vous entrez chez les "seniors", ceux qui sont difficiles à embaucher car ils coûtent cher, ceux qui ne sont pas mobiles et surtout ceux qui, paraît-il, sont si réfractaires au changement ! Bien sûr, vous ne vous reconnaissez pas dans ce portrait caricatural, mais c'est ainsi : la France vous a mis dans une autre catégorie, vous n'êtes plus désormais une ressource, vous êtes devenu une charge ! Comment tenir le coup, dans ces conditions, jusqu'à la retraite, et surtout avec quels revenus ? Car les indemnités de chômage ne sont pas éternelles.

Puisque les entreprises ne veulent plus de vous, vous vous décidez à prendre l'initiative de monter votre propre structure puisque c'est à la mode. Et pourquoi pas dans le conseil, comme certains vous l'ont recommandé ? En vous renseignant autour de vous, vous découvrez alors un véritable monde parallèle à celui que vous connaissiez jusqu'ici : celui de tous ces "seniors" (comme ils disent) qui sont devenus "consultants indépendants", les uns pour attendre un départ à la retraite de moins en moins proche, les autres pour se prouver qu'ils peuvent de nouveau servir à quelque chose. Et tant pis si l'on doit transpirer un peu et puiser dans ses économies. On a sa fierté, tout de même ! On dit que la France a le plus faible taux d'emploi des plus de 50 ans en Europe ? Pourtant, quelle réserve d'énergie et de compétences, j'ai découvert ces derniers mois ! Et qu'en fait-on ? On les jette, on les placardise, on les diabolise. Quel gâchis humain au final !

Alors que faire aujourd'hui ? Continuer à se battre, constituer des réseaux, se faire connaître, épauler ceux qui sont encore KO debout, des mois après leur licenciement ! Et peut-être aussi envoyer avec ses tripes un message au président de la République et à tous les partenaires sociaux, en leur disant ceci : pourquoi ne pas profiter du débat qui s'ouvre sur les retraites pour repenser en profondeur le rôle et les contributions des plus de 50 ans dans notre société ? N'est-il pas temps en effet de remettre à plat les politiques de gestion des ressources humaines dans les entreprises comme dans la fonction publique pour leur faire une place à la hauteur de leur expertise et de leur engagement ? En tout cas, s'il faut vous donner un coup de main, messieurs les dirigeants, pour bousculer les idées reçues et faire preuve d'innovation, alors n'hésitez pas à nous solliciter, car, vous l'aurez compris, nous sommes plutôt disponibles en ce moment, nous autres les chômeurs de 50 ans !

21/04/2010

Courrier à votre député

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