Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/07/2010

Marie Pezé : experte de la souffrance au travail virée !

Marie Pezé a créé la première consultation de souffrance au travail en 1997. Handicapée elle-même, elle a demandé à ce que son poste de travail soit aménagé pour travailler correctement. Refus de la direction et augmentation de sa charge de travail pour la déclarer inapte au travail et la licencier : pratique courante et inacceptable dans ce pays soi-disant respectueux des salariés qui sont trop souvent considérés comme des "outils" de production et non comme des personnes.

Lire l'article.

Marie Pezé au chevet du travail

Son livre coup de poing : Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés.

video sur le harcèlement

Le plus fragile est le plus impliqué et le plus consciencieux

22/07/2010

Il en va de notre avenir : les retraites.

Article d'alternatives économiques :

http://www.alternatives-economiques.fr/retraites---il-en-...

En ajoutant des mesures injustes à un système complexe et illisible, la réforme est loin de pouvoir rassurer les Français sur l'avenir à moyen terme des retraites par répartition.

La contestation du projet de réforme des retraites est légitime et compréhensible. Rappellons les mesures clefs

proposées par le gouvernement : l'âge minimal de départ devrait être porté à 62 ans en 2018 ; l'âge auquel on a droit à une retraite à taux plein même sans avoir cotisé suffisamment serait porté, lui, à 67 ans ; enfin, la durée minimale de cotisation serait prolongée à 41,5 ans en 2020.

Ces mesures posent de nombreux problèmes. Repousser l'âge minimal de départ touche tout d'abord au premier chef les personnes qui ont commencé à travailler très tôt. Or, celles-ci connaissent souvent des conditions de travail difficiles et ont une espérance de vie inférieure à la moyenne. Certes, un dispositif devrait permettre à ceux qui ont commencé à travailler à 16 ans de partir à 60 ans, mais cela leur impose quand même une durée de cotisation de 44 ans, très supérieure aux autres. Quant au report à 67 ans de l'âge donnant accès au taux plein, cette mesure touche surtout les femmes qui ont fréquemment des carrières à trous.

La priorité donnée au recul rapide de l'âge de départ en retraite est de toute façon très problématique au moment où le chômage atteint de nouveau des sommets, avec 4,5 millions de personnes inscrites à Pôle emploi en avril dernier, soit un million de plus qu'en 2008. En effet, ces mesures pèseront négativement sur un marché du travail très déprimé.

Le recul des âges de départ devrait permettre d'économiser 20 milliards d'euros en 2020. Le projet de réforme prévoit aussi une hausse du taux de cotisations retraite des fonctionnaires de 7,85 % aujourd'hui à 10,55 % en 2020. Cet alignement sur le privé n'est pas choquant en lui-même mais, combiné aux pertes de pouvoir d'achat passées et aux perspectives d'austérité salariale pour les mois qui viennent, il concourt à démotiver des agents auxquels on avait promis pourtant de meilleures rémunérations en échange de la réforme de l'Etat.

Les revenus des plus aisés devraient également être taxés via une hausse d'un point du taux marginal de l'impôt sur le revenu, de 40 % à 41 %. Recettes supplémentaires : 230 millions d'euros en 2011 (0,01 % du PIB). D'autres mesures plus substantielles sont cependant prévues sur certains revenus du capital à hauteur de 1,5 milliard d'euros. Les allégements de cotisation consentis aux entreprises devraient aussi être rognés de deux milliards d'euros. Une mesure qui risque de peser sur les évolutions salariales du privé au cours des prochains mois. Enfin, le Fonds de réserve des retraites sera mobilisé sans attendre 2020 comme prévu lors de sa création en 1999.

En préservant un système complexe et illisible, en prévoyant des mesures injustes, et en ne recherchant pas un large consensus, cette réforme est loin de pouvoir rassurer les Français sur l'avenir à moyen terme des retraites par répartition…

Pour apporter la contradiction à la propagande gouvernementale

Si nous sommes apolitiques, il nous faut entendre d'autres discours que les discours officiels.

Voir ce lien : http://www.m-pep.org/spip.php?article1727

Pour les questions économiques, voir ce site : http://www.alternatives-economiques.fr/

23/06/2010

Je témoigne lundi 28 juin sur Sud Radio pour dire ma vérité

Je téléphone au 0 826 300 300 pour témoigner de mon expérience dans ma recherche d'emploi. Je prépare mon témoignage et j'écoute Sud Radio sur Internet http://www.sudradio.fr/index.php?id=12 .
Le LUNDI 28 JUIN 2010 sur SUD RADIO de 14H30 à 16H dans l'émission "FAUT QU'ON EN PARLE" présentée par Laurence PERAUD.

 

17/03/2010

L'ostracisme et son effet sur le psychisme

Témoignage extrait de "Quinquas les parias" de l’emploi d’Alain Vincenot, éditions Belfond

Jean-Luc p85

« Tant que vous n'avez pas connu cette terrible culbute, vous n'imaginez pas les destructions qu'elle provoque. C'est blessant de ne recevoir aucune réponse. Vous vous sentez humilier. Parfois, je vois un dossier retraçant mon expérience professionnelle, que j'accommode selon les informations récoltées sur l'entreprise et ses besoins. Personne ne le lit. Quel silence méprisant ! Vous finissez par douter de vous-même, par vous déprécier. C'est pire qu'un échec. Un échec conclut généralement la perte d'un combat. Là, on ne vous accorde même pas la possibilité de lutter. On nie votre existence. On ne vous dit pas que vous êtes trop vieux ou pas assez compétent. On ne vous dit rien. On vous ignore. Vous êtes dans le néant. Au mieux on vous concède une réponse standard, avec remerciements pour votre attention portée à l'entreprise et formule stéréotypée sur l'intérêt de votre candidature. La culpabilité, toujours elle vous ronge de plus en plus. Vous vous reprochez de ne pas avoir su composer avec votre ancien employeur, de ne pas avoir fait preuve d'assez de souplesse, d'avoir tout faux. »

...

« C'est peut-être machiste, mais je considère que l'homme est programmé pour nourrir son foyer. Ma femme a beau me dire que, le soir, quand elle rentre de l'école, elle aime me voir à la maison (ce dont mes journées surchargées la privaient auparavant), mon inutilité me pèse. Certaines nuits, je n’en dors pas. Le matin, je suis encore en pyjama quand elle part travailler. La décadence. Et j'envisage cette extrémité : si je disparaissais, personne n'assisterait à ma déchéance. Devant une douleur trop cruelle la tentation est grande de l'extirper une fois pour toutes. Je sais que je dispose de cette ultime solution. Je sais aussi que je n’infligerai pas ça à ma famille. »

Le témoignage de Pierre et ses enseignements

Témoignage extrait de "Quinquas les parias de l’emploi" d’Alain Vincenot, éditions Belfond

 

Pierre p271

De sa chute, Pierre affirme avoir tiré trois enseignements.

D'abord, ne pas rester seul mais se confier, demander de l'aide. « Au lieu de vous enfermer, n'hésitez pas à vous ouvrir à votre épouse, à vos enfants, à vos proches. Ayez l’impudeur de dire que vous souffrez. Accepter de parler favorise la guérison. Et puis, consultez un médecin. Ses pilules miracles vous seront d'un grand secours. »

 

Deuxième enseignement : selon lui, il faut savoir tourner la page et faire le deuil de son statut antérieur. « Le chômage est un traumatisme qui vous casse. Vous vous jugez nul, inepte, incapable d'avoir su éviter les écueils et les peaux de banane, incapable de vous rétablir. Votre licenciement a injecté en vous un venin, vous vous sentez déprécié, déconsidéré, dévalorisé. Du jour au lendemain, vous avez l'impression d'être lâché de tous, d'être au-dessous de tout. À 50 ans, vouloir reprendre sa carrière exactement là où elle s'est brisée constitue un piège qui augmente les effets du poison. »

 

Troisième enseignement : Pierre met en garde contre la tentation de se lancer dans une voie complètement différente de celle qui précédait la relégation. « Même si vous avez des compétences polyvalentes, vous ne sauterez pas de l'agroalimentaire à l'industrie automobile. On nous bassine avec les bilans de compétences : la panacée qui vous dévoilerait des potentialités insoupçonnées. En fait, si la réussite d'une intégration tient plus à des facteurs psychologiques et culturels qu'à des compétences techniques, nécessaires mais pas suffisantes, la connaissance d'un milieu ne s'invente pas. N'allez pas chercher midi à quatorze heures. Vous évoluez dans un secteur, ne l'abandonnez pas. Abordez-le simplement sous un autre angle. Par exemple, dans des missions de consultant. Vous ne serez pas dépaysés et vous maintiendrez des contacts avec vos anciens collègues qui pourront vous aider et enrichiront votre carnet d'adresses. »

27/11/2009

La place de nos ainés dans la société

Ci-dessous, pour information, copie d'un courriel relatif au "débat national" annoncé pour le printemps prochain par le secrétariat d'Etat aux Aînés sur le thème de "la place de nos aînés dans la société" (rappelons qu'il y aura aussi, en 2010, un débat sur la réforme des retraites dont on a appris, récemment, qu'il aurait lieu après les élections régionales).

Le document en pièce jointe (6 pages au format PDF) est un bon condensé des thèses de l'IAB. Il a été publié en 1999, à l'occasion de l'"année internationale des personnes âgées", mais n'a pratiquement pas "vieilli" depuis ... iab_1999_touslesages.PDF

Bien à vous.
Jean-PIerre Busnel - jpabusnel@wanadoo.fr Président de l'Institut André Busnel
--------------------------------------------------------------------------------

Cher adhérent et ami,

Je prends connaissance de votre aimable courrier à mon retour de Paris. Merci vivement à vous pour cette communication du texte de l'interview du docteur Nora Berra, ancienne députée européenne, nouvelle secrétaire d'Etat aux Aînés (Le Quotidien du médecin du 20 novembre). Cette dame va donc "lancer une grande concertation sur la place de nos aînés dans la société." J'étais au courant, car cela a été annoncé il y a quelques semaines, au moment de la publication (en septembre-octobre) de statistiques sur les suicides mettant notamment l'accent sur ceux des plus âgés (voir L'e-journal de l'iab n° 149).

Des secrétaires d'Etat aux personnes âgées, il y en a eu beaucoup depuis une trentaine d'années. Ils ont tous plus ou moins dit la même chose, comme Mme Berra aujourd'hui (du genre : "les personnes âgées sont une chance pour la société et non une charge"). Très bien, c'est ce que répète l'IAB depuis une vingtaine d'années. Mais il est bien connu que les ministres et secrétaires d'Etat passent, tandis que les problèmes tendent à demeurer. Il y a eu, également, beaucoup de débats du type de celui dont parle cette dame, y compris dans un cadre européen et même mondial. Ainsi, tout le monde, ou à peu près, l'aura oublié, il y a eu un grand tapage, initié par l'ONU, il y a très exactement dix ans, en 1999, "année internationale des personnes âgées", autour du joli thème d'"une société pour tous les âges". De nombreux débats et communications furent menés en France à ce propos. L'un des plus intéressants portait sur  "la place des retraités dans une France solidaire et citoyenne." Excellent programme, ce n'est pas Mme Nora qui dira le contraire ! L'IAB y avait alors apporté une contribution spécifique en répondant à un questionnaire ad hoc. Je ne pense pas que vous ayez eu connaissance de ce texte. Vous le trouverez donc, pour mémoire, en pièce jointe (6 pages au format PDF). Vous m'obligeriez en lui consacrant quelques minutes de votre temps. A mon avis, il n'a nullement vieilli. Il est même plus que jamais d'actualité. Quelle suite a été donnée à notre contribution d'alors ? Comme toujours dans ces cas-là, les idées que l'on peut émettre se perdent, s'enlisent dans le tumulte politico-médiatique et la multitude des avis exprimés, divergents sinon totalement opposés. Avec les résultats que l'on sait. Sans compter que les "débats nationaux" sur les innombrables "problèmes de société", de toutes sortes, se suivent maintenant à un rythme accéléré dans une France en chantier permanent,  en proie au doute, où tout est sans cesse remis en cause.

J'ai lu le texte de l'interview de Mme Berra. A l'entendre, l'Etat, au moins sur la période récente (celle du pouvoir en place), n'a en rien manqué à sa mission dans les domaines abordés par elle. On ne saurait lui reprocher quoi que ce soit. Il ne pouvait pas faire mieux. Ce n'est évidemment pas l'avis des professionnels concernés et de bien d'autres observateurs, il s'en faut de beaucoup. Je n'ai pas besoin de rappeler ici que ce n'est certes pas le mien non plus. Il s'agit de propos (classiques) typiquement politiques, comme j'en ai lu ou entendu bien d'autres. "Je considère que les aînés sont les personnes qui ont achevé une carrière professionnelle et qui entament un nouveau projet de vie" dit Mme Berra. C'est confondre aînés et retraités. C'est d'autant plus curieux que la secrétaire d'Etat dit préférer user du mot "aîné" pour désigner une personnes âgée (une très bonne idée, d'ailleurs, comme celle qui consiste à ne pas parler de "seniors", un concept flou, mis désormais à toutes les sauces, popularisé par les milieux commerciaux). Car il est des retraités, des préretraités ou des exclus à jamais du monde du travail qui sont de très jeunes quinquagénaires. On ne saurait bien évidemment les considérer comme des personnes âgées dans le contexte démographique actuel (une fille née aujourd'hui a une chance sur d'eux, dit-on, de devenir centenaire). A croire que la secrétaire d'Etat n'est pas bien au courant du sort trop souvent réservé aux salariés de plus de 50 ans, en France tout particulièrement, thème (les trop fameuses "mesures d'âge") auquel, vous le savez bien, l'IAB a consacré de multiples publications depuis sa création. J'ai aussi remarqué que le mot de "discrimination" n'avait pas été prononcé par la secrétaire d'Etat, pas plus, d'ailleurs, que celui de "retraité" ...

Comme tous les "politiques", Mme Berra laisse à penser qu'il y a une solution étatique (ou politique) aux problèmes énoncés (ceci alors même que l'Etat moderne, criblé de dettes appelées à croître longtemps encore dans le désastreux contexte économique actuel, n'a jamais été aussi affaibli - voire impuissant - qu'à l'heure de la mondialisation néolibérale). C'est, par exemple, ce que l'on nous a dit tout au long de la semaine qui vient de s'achever à propos du dossier dit des "femmes battues" (on n'imaginait certainement pas, dans une société démocratique "libérale avancée", dédiée aux droits de l'homme depuis des décennies, dotée d'un impressionnant arsenal juridique affecté à la protection des individus, transformée par de spectaculaires récentes conquêtes féministes, qu'il y eût encore autant de "femmes battues", en France, en l'an de grâce 2009 ...). C'est probablement faux, car la très lourde problématique en cause, celle du vieillissement, est fondamentalement de nature culturelle. Elle relèverait, en fait, sans doute, bien d'avantage de la religion que de la politique. Mais ceci est une tout autre histoire ...

 

02/11/2009

Sondage sur l'emploi des seniors

Le 1er janvier 2010, les entreprises qui n'auront pas un plan pour l'emploi des "seniors" devront payer une taxe de 1% de la masse salariale.

Le plan devra couvrir au moins trois domaines d'action parmi les six proposés dans le sondage ci-dessous et listés dans le décret.

03/10/2009

Le savez-vous ?

Une enquête sur des données de base. Merci d'y répondre.

14/07/2009

Sondage sur l'emploi des Quinquas

Le 1er janvier 2010, les entreprises qui n'auront pas un plan pour l'emploi des "seniors" devront payer une taxe de 1% de la masse salariale.

Le plan devra couvrir au moins trois domaines parmi les six proposés par le décret.

12/12/2008

Le président d'AQC à la TV

Jean-Marc Coursin est interviewé sur TV Fil 78 :http://fileco.tvfil78.com/article/fileco-2008-12-12.php

Début de la prestation à 5:00.

28/11/2008

Témoignage de Loïc et Emmanuelle

Bonjour à toutes et à tous,
 
 
Je viens vous informer que j'ai fait l'objet avec ma famille d'un interview par l'équipe de la chaine publique de télévision "France 3" dans le cadre de leur émission journalière "@ la carte" . Le sujet est celui du chômage et de la difficulté de retrouver un emploi après 50 ans, voire même dès 45 ans, pour une population que l'on appelle les seniors, avec tout ce que cela entraîne au niveau de la vie familiale et personnelle.
 
Notre interview a duré plus de 2 heures, mais sera résumé en 4 minutes dans le cadre du reportage qui est diffusé à l'appui d'un débat sur le plateau et des questions posées par les télespectateurs via internet.
 
J'espère que l'essentiel sera retransmis et que les messages forts que nous avons voulu faire passer seront bien repris.
 
Il existe une véritable discrimination vis à vis des seniors concernant l'emploi. La situation de crise que nous connaissons actuellement ne va pas malheureusement améliorer la situation.
 
On constate qu'il y a de la part de nombreux politiques, de l'Etat, de syndicats comme la Cfdt qui s'implique beaucoup afin de faire évoluer les mentalités et trouver des solutions au problèmes très français du chômage des seniors, une volonté de faire bouger les choses.
 
On parle de plus en plus du problème de l'emploi des seniors, mais dans les mentalités des entreprises et des Directions des Ressources Humaines, peu de choses ont réellement changé. On se heurte toujours à la même difficulté et les mises en pré-retraite des personnes de 50 ans et plus, largement utilisées depuis déjà plusieurs années, restent fortement ancrées dans l'esprit des entreprises qui ne sont pas encore prêtes, pour l'essentiel d'entre elles, à recruter des seniors.
 
J'ai accepté de témoigner avec ma famille afin de démontrer que cette situation difficile de l'emploi des seniors peut toucher tout le monde, personne n'est à l'abri. Cette situation peut rapidement déboucher sur la précarité et il faut tout faire pour éviter cette descente aux enfers que connaissent bon nombre de seniors qui n'ont plus la force de témoigner et de se battre. 
 
Je veux aussi apporter la preuve de la vitalité des seniors, qui veulent continuer à travailler, qui mettent tout en oeuvre pour s'en sortir, qui sont riches de leur expérience et qui peuvent encore beaucoup apporter à la société.  
 
Je me bats actuellement pour créer ma société afin de pouvoir vivre décemment de mon travail. C'est un combat de tous les jours et je suis loin d'être le seul à le mener, avec le désir d'apporter tout mon savoir faire et toutes mes compétences au service de la société et des hommes qui la composent.     
 
L'émission sera diffusée cet après-midi de 16h30 à 17h30.
 
Pour ceux qui seraient dans l'impossibilité de la suivre, elle est visible ensuite sur le site de France 3 Télévision en précisant le titre de l'émission "à la carte" . On peut y revoir les 13 dernières émissions .
 
J'espère que le témoignage de notre famille sera une pierre apportée à la construction d'un nouveau monde plus juste et plus humain.
Nous sommes tous solidaires et la discrimination qui touche l'un d'entre nous, nous touche tous. Nous ne pouvons pas rester insensibles à ce qui se passe autour de nous et rester immobiles en croisant les bras.  
C'est aussi dans ce but que nous avons accepté de témoigner.
 
Un grand Merci à toutes celles et tous ceux qui oeuvrent dans ce sens, et nous savons qu'ils sont nombreux.
 
Bien Cordialement.
 
Loïc et Emmanuelle 

 

15/05/2008

Rassemblement du jeudi 12 juin 2008 au Trocadéro

Depuis le 12 juin 2005, date de notre premier rassemblement, aucun progrès n'a été fait concernant l'emploi des Quinquas. Le Président de la République va jusqu'à parler de racisme vis à vis des Quinquas. Lire son discours. Voir aussi : Quinquas+

Pourquoi faire travailler plus longtemps ceux qui ont déjà un travail alors qu'on empêche plus d'un million de Quinquas de travailler ?

Le jeudi 12 juin de 17h à 19h au Trocadéro, parvis des libertés et des droits de l'homme, nous nous rassemblons simplement pour que les 45+ exclus retrouvent leur dignité. L'exclusion des Quinquas coûte plus de 10 milliards d'euros aux Français, d'après le Conseil d'Analyse Economique ! Le travail des Quinquas exclus est la principale réponse au problème de la protection sociale: retraites et indemnisation du chômage.

Merci de confirmer votre venue à cette adresse email : quinquascitoyens@free.fr.

Mais surtout parlez-en autour de vous ! Téléchargez les documents et informations. 

Une idée de pancarte pour faire passer votre (vos) message(s) et des documents à écouter qui vous donneront des idées.

Les mentalités commencent-elles à changer ? Voir les vidéos du forum du 22 avril.
http://www.focusrh.com/article.php3?id_article=2610
http://www.jobinlive.com/forumemploidiversite

A Lyon, le rassemblement se fera devant le MEDEF 60 rue Jean Mermoz 69008 LYON le 12 juin à partir de 15 h. Voir le site

Parvis des libertés et des droits de l'homme au Trocadéro 

Plan

06/05/2008

Le Président de la République et les Quinquas

Le président de la République s'exprime sur l'emploi des seniors : http://www.elysee.fr/webtv/index.php?intHomeMinisterId=0&...

22/04/2008

L'Oréal - Forum pour l'emploi des seniors

Reportage tourné le 22 avril 2008 lors du forum organisé par L'Oréal. Voir : http://www.focusrh.com/article.php3?id_article=2610