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26/03/2005

7 chômeurs portent plainte pour discrimination à l’embauche

Sept chômeurs, deux femmes et cinq hommes, âgés de 42 ans et plus, portent plainte pour discrimination à l’embauche sur des critères d’âge.
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18/03/2005

Animation locale régionale

Recherchons un animateur régional ou une association pour organiser dans chaque capitale régionale le rassemblement.

Comprendre la situation des Quinquas pour les gérer dans le nouveau contexte

Si de nombreux quinquas sont désespérément sans emploi, dans le même temps, un bon nombre de salariés en fonction souhaitent toujours, malgré la nouvelle loi sur les retraites, cesser leur activité professionnelle au plus tard à 60 ans.
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Manager les Quinquas

16/03/2005

Seniors et toujours bons pour le service

Les discours sur le maintien au travail des personnes de plus de 50 ans fleurissent. Mais, sur le terrain, les initiatives sont rares. Zoom sur des pionniers qui savent tirer profit de l'expérience des aînés.

Des évidences qu'il faut faire connaître.
Lire la suite L'entreprise

Des cadres au chômage planchent sur des projets dormants

La Tribune rend compte d’un programme mis en place pour la deuxième année consécutive par la communauté de communes de Sophia Antipolis (Paca).

Baptisé «Sophia s’ouvre aux projets», il vise à créer une dynamique du retour à l’emploi chez des cadres supérieurs au chômage depuis plus ou moins longtemps. La démarche consiste à mobiliser ces cadres au chômage sur des projets restés en sommeil faute de ressources disponibles au sein des entreprises. Les entreprises participantes accueillent ces cadres pour une durée de six mois ; ils bénéficient d’un statut spécifique de stagiaire de la formation professionnelle et perçoivent leurs indemnités Assedic.

L’objectif est de reclasser ces chômeurs au terme d’un semestre de réinsertion, ou même avant. Ce projet est le fruit d’une collaboration entre l’ANPE d’Antibes, la commune de Valbonne, l’association Telecom Valley (qui regroupe 60 entreprises de la technopole) et la pépinière d’entreprises Cicom. L’année dernière, la première édition de ce programme a permis de rapprocher 35 cadres et 22 entreprises.

L’objectif de réinsertion en CDD ou en CDI avait été fixé à 60% ; finalement, le taux de réussite a frôlé les 80%. «La moitié des projets dormants se sont avérés pérennes. Pour le reste, certains stagiaires ont créé leur propre société, d’autres ont choisi la formule du portage salarial», explique le directeur général de la technopole Cicom, laquelle a connu une trentaine de plans sociaux et compte aujourd’hui 1.200 chômeurs, dont la moitié de cadres.

Le succès de cette expérience tient notamment au fort accompagnement prodigué aux stagiaires, qui suivent des ateliers collectifs durant lesquels ils sont initiés aux techniques de réinsertion, de maîtrise de la communication et du relationnel. «En un mois, ils sont transformés», constate même le directeur général de Cicom.
(La Tribune, p37, Muriel Jaouën, 14/03/2005)

13/03/2005

Taux de syndicalisation en France

Source Dares octobre 2004 N°44.2 Mythes et réalités de la syndicalisation en France

"Au contraire, ce sont les salariés qui déclarent peu de pénibilités au travail et des chances de promotion élevées qui sont le plus souvent syndiqués."

En 2003, 1 845 000 salariés étaient syndiqués, soit 8,2% des salariés (9% des hommes et 7,5% des femmes).
Les salariés du public sont trois fois plus syndiqués que dans le privé, 15% au lieu de 5%.
26% des professeurs, chercheurs et médecins hospitaliers et 25% des ingénieurs et cadres de la fonction publique sont syndiqués.

Ces nombres permettent de comprendre le comportement des syndicats qui représentent leurs adhérents.

12/03/2005

Le couperet Delalande et la France qui bosse

La France qui bosse demande l'abandon de l'amendement Delalande.

La France qui bosse et les Quinquas Exclus même combat ?

Manifestations pour le pouvoir d'achat : incohérences françaises

Les manifestations pour le pouvoir d'achat ont été un succès pour les syndicats. Elles ont mobilisé du public et du privé paraît-il.

Le succès est surtout pour les membres de la fonction publique car seul l'Etat français peut décider d'augmenter les salaires arbitrairement en les faisant financer par les impôts sur les autres français ou par l'endettement.

Ou alors l'Etat aura-t-il enfin le courage de négocier en contrepartie une meilleures productivité comparable aux autres pays européens ? Nous verrons.

Si ce courage manque encore une fois, espérons que les fonctionnaires qui seront augmentés accepteront d'acheter du "made in France" nécessairement plus cher pour permettre aux entreprises de payer les prélèvements supplémentaires occasionnés par leurs augmentations de salaires. J'ai bien peur qu'ils ne préfèrent acheter moins cher du "made in China" favorisant ainsi les délocalisations.

Merci messieurs les syndicalistes de la fonction publique, terroristes et preneurs d'ôtages, qui dénoncent les conséquences de leurs actions irresponsables en les faisant porter sur les autres et la mondialisation !

Comment faire confiance sans transparence ?

Un mot de nos ministres accompagnant le formulaire de déclaration fiscale :
"... Nous prenons devant vous l'engagement d'oeuvrer pour que chaque euro dépensé en votre nom soit un euro réellement utile, au service de notre pays et pour l'avenir de nos enfants..."
Signatures : Hevé Gaymard et Jean-François Copé. Tous les deux ont dépassé les bornes fixées a posteriori par le Premier Ministre pour les logements de fonction !
L'un a dû démissionner et l'autre est encore au Budget.

Ces comportements de ministres montrent bien que les efforts sont à faire par les autres ! Ne se sentent-ils pas concernés à titre personnel et professionnel ?
Il est certain qu'il y a eu un informateur dans cette affaire mais combien d'autres comportements du même genre ne sont pas connus, ni signalés.

Un mot de Michel Rocard, ex-Premier Ministre :
"Ce qui fait que ne viendront plus à la politique que les ratés de leur profession." Interview Figaro Magazine 6-7 mars 2004.

Déjà d'actualité ou est-ce seulement un problème d'éthique ?

28/02/2005

Que faire ?

Comme beaucoup, je fais partie de ces quinquas laissés pour compte.

C’est tout à fait par hasard que je tombe sur votre proposition.

Ce projet mériterait d’être plus diffusé !
Nous sommes nombreux à vouloir faire quelque chose, sans savoir quoi...

Solidairement,

Catherine

27/02/2005

Génération sacrifiée née entre 1947 et 1960

Au-delà des beaux discours avec les meilleurs intentions du monde, il nous faut voir les décisions et surtout les actes tant il est vrai qu'entre les discours et les décisions, d'une part, et entre les décisions et les actes, d'autre part, il existe un espace temporel gigantesque en France.

Il faut le dire : les personnes nées entre 1947 et 1960 en moyenne et qui ont été exclues du marché du travail n'ont pratiquement aucune chance de retrouver du travail après quelques mois de chômage. Cette catégorie de chômeurs, victimes de la loi Delalande sensée les protéger, est oubliée car elle révèle cet incroyable paradoxe français : beaucoup de lois votées pour un objectif donné obtiennent exactement l'effet inverse.

10% de chômage !

Alors que nos dirigeants voulaient éviter ce seuil psychologique, les 10% ont été atteints malgré 2,3% de croissance. Preuve est faite que la croissance ne crée plus suffisamment d'emplois en France et que notre modèle n'est plus valable !
Nous allons avoir droit rapidement encore une fois à "un traitement social" du chômage c'est-à-dire à "tripatouiller" le thermomètre (% de chômage). Des mesures vont être prises pour enlever des chômeurs du numérateur pour encore une fois anesthésier les français et faire croire que l'Etat s'occupe du problème !

Rappelons que la moitié des chômeurs, soit 1 300 000 personnes, est due à la sous-culture économique française et soi-disant à la "mondialisation" !

Est-il plus difficile de réduire le nombre de chômeurs par des mesures intelligentes que de réduire le nombre de morts sur les routes ?

20/02/2005

L'indécence des moeurs de la fonction publique française

"Hervé Gaymard a décidé de renoncer à occuper l'appartement de fonction qui était mis à sa disposition depuis le 1er février dernier par le ministère de l'économie", a annoncé le ministère. "Tout en rappelant que l'attribution de ce logement a été autorisée par le secrétariat général du gouvernement dans des conditions parfaitement conformes aux procédures en vigueur, il a pris cette décision dans le seul souci de mettre un terme au débat qui s'est développé ces dernières heures et de préserver sa famille", a ajouté le ministère.

"Je suis complètement dans la légalité et je n'ai rien à me reprocher", a rappelé Hervé Gaymard, interrogé sur TF1. ... Un exemple de la différence entre la loi et la morale !

Dimanche, lors du "Grand jury RTL-Le Monde-LCI", Hervé Gaymard avait déclaré qu'il fallait "se désintoxiquer de la dépense publique".

Lire l'article Le Monde

"Monsieur le Ministre, s'il s'agit de désintoxiquer la Fonction Publique de la dépense publique, cela veut dire qu'il faut la sevrer et vite. Commencez par votre ministère et faites le savoir !"

La fonction publique et nos dirigeants politiques n'intègrent pas dans leurs décisions les principes de "l'économie de gestion" que tout ménage doit respecter.

Tant que les audits de la Fonction Publique seront effectués par des fonctionnaires de la Cour des Comptes, pairs des responsables audités, rien ne changera ! Un auditeur doit être indépendant de la personne et du service audités et avoir les moyens de faire son travail.

Proposition : Une disposition à prendre comme dans la plupart des pays démocratiques avancés et démocratiques :
Le logement familial est à la charge du ministre qui, faut-il le rappeler, reçoit un salaire pour sa fonction.

Transparence et Simplicité !

Le Premier Ministre a décidé autrement. Sa décision implique un contrôle qui devra être effectué par des fonctionnaires qui coûtent. Décidément, même le Premier Ministre préfère les procédures au bon sens et à la tranparence. Pauvre France !

19/02/2005

Le travail des seniors se heurte au chômage et aux stéréotypes

Un employeur sur deux indique ne pas vouloir embaucher une personne de plus de 50 ans, même s'il éprouve des difficultés à recruter, remarque la Dares dans son étude.

"Leur productivité ne semble pas plus faible que celle de leurs cadets mais les entreprises sont toujours réticentes à embaucher des salariés âgés", relève la Dares. Qu'on se le dise !

Le Monde

La situation sociale s'est fortement dégradée en 2004 en Charente-Maritime

Alors que le chômage s'est stabilisé l'an passé en France (- 0,1 %), il a progressé de 3,4 % dans le département pour toucher désormais 11 % de la population active.
Sud-Ouest