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19/02/2005

Un senior sur TF1 le 11 février

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"Les difficultés d'un senior à retrouver un emploi"

Dans le reportage, vous remarquerez qu'on parle des statistiques des 55-60 ans. Mais un chômage qui n'est pas mesuré est celui des 45-55 ans (une femme est presque exclue et "précarisée" à 40 ans). C'est un sujet tabou en France car il mesurerait les dégats de la loi Delalande censée "protéger" les plus de 50 ans et maintenant les plus de 45 ans. Le taux des 45-55 ans en France serait encore plus catastrophique par rapport à la moyenne européenne.
La journée nationale des Quinquas montrera à la France entière une nouvelle exception française ce que ne montrent pas les statistiques !

17/02/2005

Seniors : le chômage fatal ?

Accablant. Le rapport de la Dares (1) publié ces jours-ci par le ministère du Travail établit non seulement que la France est l’absolu mauvais élève européen en matière d’emploi des seniors, mais, qu’en plus, notre pays, s’avoue incapable de corriger le tir.
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La réforme en France

"Les français sont pour la réforme mais contre le changement." Yvon Gattaz, ex-patron du CNPF (MEDEF)

Oui, tout le monde est pour la réforme mais ce sont les autres qui doivent changer !

15/02/2005

Sauvons ce qui peut l'être

Nous serons toujours les victimes tant que nous ne saurons pas nous substituer aux entrepreneurs et industriels lorsqu'ils ferment leurs entreprises.
Quand prendrons nous conscience que PLUS QUE L'HOMME, C'EST SA BETISE QUE L'ON EXPLOITE.
Nous sommes tous concernés par la désindustrialisation comme de l'argent public. Il est indispensable d'imaginer des alternatives, pour maintenir une activité industrielle, nécessaire à une économie viable pour notre pays. Créer des entreprises c'est bien, on peut envisager aussi de préserver ce qui est possible avec le concours des cadres et des salariés.
Il y a presque 60 ans fut instituée la cogestion(les C.E) par le général De Gaulle, pour inciter les cadres et les salariés à participer au fonctionnement et au développement de leurs entreprises. Une décision qui devait encourager une culture économique populaire. Une initiation qui devait aussi leur permettre, si l'occasion se présentait, d'en prendre le contrôle et la gestion, un moyen de développer des entreprises citoyennes.
Il faut savoir que des lois rendent possibles des alternatives : loi N°84-578 du Juillet 1984,
Art.90, loi N°91-1322 du 30 décembre 1991, sur le développement de l'initiative économique qui institue, la reprise de l'entreprise par ses salariés ( RES )
Loi N°76-1232 du 29 décembre 1976 qui favorise la transmission de l'entreprise aux salariés avec avantages fiscaux, il existe également la SCOP. Société Coopérative Ouvrière de Production
Faudra-t-il demander à nos élus, de réactualiser, d'adapter, d'améliorer certaines lois.
De toute façon, il faut envisager toutes les possibilités. Il ne coûte rien d'en faire la démarche, il est étonnant que l'on ne suggère que très rarement aux salariés, l'étude de faisabilité de RES avec le concours des institutions concernées :
Le conseil général
La Chambre de Commerce et d'Industrie
L'inspection du travail
La confédération nationale des SCOP ( 1500 entreprises 35000 emplois )
Les élus
Naturellement il faut du courage et de la motivation de la part des salariés.
Les consommateurs ont contribué en partie aux délocalisations. Dans une course à la concurrence inégale, nous n'avons pas pris conscience que la différence des prix correspondait à nos salaires et notre protection sociale.
Pour conclure, ce n'est pas les entreprises qui ont fermé, qui participeront à la reprise économique. Des RES existent, nous avons tous été informés dans le passé de cas ponctuels. Si on en parlait plus, cela contribuerait à une émulation.
N'oublions pas que nous devons relever un défi économique. Les élus agissent avec l'argent que leurs confient les contribuables, leurs pouvoirs sont limités par le manque d'argent, si on se réfère à la dette de la France 1.000Md et aux 38 Md d'euros d'intérêts que nous payons.
Moins d'entreprises c'est moins, de protection sociale, moins de retraites, moins d'impôts, moins de services publics.
Nous n'avons pas de richesse naturelle, notre seule richesse c'est la valeur ajoutée que nous obtenons par notre travail. Notre seule richesse c'est le travail.
Large diffusion pour la sauvegarde possible de certaines entreprises et de nos emplois.
Contact département 76

14/02/2005

Croissance et chômage

Alors que la croissance française a été la plus forte depuis trois ans +2,4%, le chômage officiel reste à 9,9% et le commerce extérieur français est déficitaire de 8 milliards d'euros.

Combien faut-il de croissance pour réduirer le chômage en France ?

Comment fait l'Allemagne, l'autre mauvais élève de l'Europe, pour avoir un commerce extérieur excédentaire de 155 milliards d'euros contre un déficit de 8 milliards pour la France !

Les syndicats et les seniors ?

"La CGT a fait remarquer que "la contradiction se trouve dans le camp du MEDEF qui met à la porte les salariés âgés". Et la CFTC, elle, a rappelé que tant que le chômage perdurera, il fallait privilégier l'emploi des jeunes sur celui des seniors. La CFDT a pour sa part défendu l'idée d'un droit pour les quinquas à une "deuxième carrière".
Extrait de La Tribune du 14 février 2005

La CGCT se défausse sur le MEDEF, la CFTC oppose les juniors aux seniors et la CFDT invente un droit pour les quinquas.

Messieurs les syndicalistes, vous aurez un jour à rendre compte de votre responsabilité sociétale !





La différence entre les discours et la réalité



L’A.D.I.E. n’aide pas !
Puisque cela fait deux fois que je lis des textes où l’A.D.I.E. apparaît comme la bienfaitrice des petits créateurs d’entreprise, j’ai décidé de changer le titre de l’article de ADIE - je ronge mon frein en "L’ADIE n’aide pas", car dans mon cas précis, et quand on est dans ma situation on a besoin d’aide, l’ADIE ne m’a pas aidée. Elle a juste réussi à m’enfoncer encore davantage dans la dégradation financière. Merci l’ADIE.
Lire la suite :
lien

12/02/2005

Evolution du salaire moyen

D'après Le Point n°1691 du 10 février, de 2002 à 2004, le salaire moyen du secteur public a augmenté de 10% et celui du privé 6,4% (sources INSEE, OCDE, OFCE).

N'est-il pas curieux de voir les salaires du public, protégé de la précarité et du chômage, augmenter plus vite que ceux du privé qui paient les salaires du public ?

Quand les syndicalistes vont-ils manifester leur volonté de voir leur salaire moyen évoluer comme celui du privé, producteur de richesses ? Ne serait-il pas équitable que les salaires du public évolue en fonction de ceux qui sont exposés à la mondialisation et aux aléas conjoncturels ?

Il ne s'agit pas ici de séparer les français, secteur protégé contre secteur exposé, mais de donner des informations publiques tronquées par les discours réducteurs de ceux qui apparaissent souvent dans les médias comme des syndicats "représentatifs". Représentatifs de quoi ? Et financés comment et par qui ?

Nous comprenons pourquoi les syndicats (qui trouvent principalement leurs adhérents chez les fonctionnaires ?) parlent de la progression d'indice et non de salaires réellement touchés, qui incluent les primes, l'ancienneté, les promotions automatiques et autres étrangetés propres à la fontion publique toujours aussi opaque.

Langue de bois, langue de bois ... Mais, comme disait Blondel, ex-dirigeant de FO, "je défends les intérêts de mes adhérents" (NDLR : et les autres peuvent peuvent aller se ...).

Les seniors à la télé, pour combien de temps ?

Le 11 février, votre serviteur est passé dans le journal télévisé de 20h de TF1 et le président de la FIDES sur France 3 dans le journal de la nuit.
Jusqu'à présent, seules les radios traitaient de l'exclusion des quinquas. Maintenant que les télés s'en mêlent, la prise de conscience va s'amplifier et, j'espère, atteindre son point culminant avec la journée nationale des Quinquas !

08/02/2005

Les 45-55 ans en quête de sens

Un article intéressant montrant la précarité psychologique des 45-50 ans.
les_45-55_ans.doc

07/02/2005

Contrat temporaire à l'ANPE et les règlements

Je travaille actuellement à la DG de l'ANPE de NLG (93) en tant qu'Hôtesse-Standardiste mais en contrat temporaire c'est à dire qu'à la fin du mois je me retrouve à nouveau sans emploi.
J'ai plus de 51 ans ; je suis capable de tenir ce poste mes responsables n'ont rien à me reprocher au niveau de mon travail mais, pour obtenir un CDD il me faut le Bac. Cela est incompréhensible et me répulse.
Pourquoi une telle descrimination vis à vis de mon âge ?

31/01/2005

Fonction publique

L'actuel statut de la fonction publique a été créé à la Libération, période historique particulière à l'initiatice du communiste Maurice Thorez et n'a jamais été remis en cause, ni adapté aux nouvelles conditions économiques.

En Suède, les effectifs de la fonction publique ont été ramenés de 400 000 fonctionnaires à 200 000 en dix ans. La Suède n'a-t-elle aucun sens du service public ? Précision : son budget est en excédent au lieu d'un déficit supérieur à 3% du PIB pour la France.

29/01/2005

Privé-Public

Quelques chiffres bruts extraits de deux publications de l'INSEE "Les salaires dans les entreprises en 2002" et "Les salaires des agents de l'Etat en 2002".

Pour la catégorie "Ouvriers et employés", la plus nombreuse, les salaires moyens du public étaients de 18 067 € en 2002 soit 16.5% plus élevés que dans le privé (15 500 €).

Pour l'évolution des salaires sur cinq ans de 1998 à 2002, elle a été de 10,4% dans le public pour 3,8% dans le privé. Au vu de ces chifres on comprend l'attirance du public sur les jeunes.

Mais qui crée la richesse du pays, le privé ou le public ? Une révolution culturelle reste à faire, non ?

10% de chômeurs en moins fin 2005 ?

L'annonce du Premier Ministre fait craindre encore une fois qu'on touche au "thermomètre" plutôt qu'à la cause de la fièvre. Une réduction de 10% représente la création d'au moins 280 000 emplois nets. Or ce nombre de créations d'emplois suppose une croissance d'environ 3% alors que les économistes s'accordent sur une croissance de 2% pour 2005.
Aussi, il est fort probable qu'encore une fois le taux d'amélioration soit "payé" par des "formations" ou autres artifices pour faire sortir les chômeurs de la catégorie 1, seule prise en compte pour le calcul du chômage.

Impact du chômage des parents sur les enfants

Extrait d'une étude de l'INSEE :
"L'amélioration de la situation sur le marché du travail apparaît donc importante non seulement pour ses conséquences immédiates, pour les parents comme pour les enfants, mais aussi pour ses conséquences à plus long terme sur le capital humain et le bien-être des enfants."